dimanche 30 décembre 2012

Suzanne Guité - la force tranquille



EXPOSITION INTERNATIONALE DE SCULPTURE CONTEMPORAINE
Programme de commandite de sculpteurs canadiens



Née à New Richmond en 1927, l’artiste et sculpteure Suzanne Guité n’avait pas encore dix ans lorsque sa famille vint s’installer dans le village de Percé. Formée à l’étranger, elle étudiera auprès de Moholy-Nagy à l’Institute of Design de Chicago, puis avec Archipenko et Brancusi à Paris. Mais son attachement pour Percé sera toujours présent.

Le gouvernement canadien a passé une commande pour deux œuvres : « Homme-enfant », sculpture en pierre, qui sera exposé au pavillon du Canada et « Mother Earth », pièce en bois, que nous retrouverons au Lac des régates dans le parc Notre-Dame.









Voici la fiche de l'artiste : .pdf 5 pages


samedi 29 décembre 2012

'Désir' d'Aristide Maillol


EXPOSITION INTERNATIONALE DE SCULPTURE CONTEMPORAINE
Jardin des sculptures et pavillon de la France




À vingt ans, Maillol voulait être peintre, mais sa renommée se fit par ses sculptures de bronze, fondues par Eugène Rudier. Un seul thème, un seul champ d’inspiration occupera son esprit : le corps de la femme. L’influence de Paul Gauguin et de ses figures pleines, lisses et sereines sont sans doute pour quelque chose dans les formes sculpturales de Maillol.









Voici la fiche de l'artiste : .pdf 6 pages

Pavillon des Brasseurs



Le pavillon de l’Association des Brasseries du Canada comprend trois bâtiments circulaires reliés l’un à l’autre, qui se conjuguent avec des jardins-terrasses et des dénivellations. Il est fait de béton, de bois et de verre.

Le plus grand des trois bâtiments semi-circulaires abrite un restaurant - « La Brasserie » que prolonge un jardin-brasserie; le deuxième, un secteur d’exposition et un théâtre miniature pour les enfants; le troisième, une cuisine et des installations de service.









Voici la fiche : .pdf 5 pages




Les visiteurs recevaient gratuitement une brochure souvenir  contenant une série de recettes à la bière - la majorité étant des plats qui étaient servis au restaurant du pavillon - ainsi que des suggestions originales pour des réceptions à la maison.







Télécharger la brochure : .pdf 32 pages



jeudi 27 décembre 2012

Pavillon Sermons de la Science




Financé par un regroupement d’hommes d’affaires canadiens, ce pavillon est en fait un ensemble de deux théâtres : une salle principale pouvant recevoir 300 personnes et une salle de conférence pouvant en accueillir 65. Ce pavillon a été construit afin d’amener à Montréal les films de l’Institut biblique de Science Moody présenté lors des expositions de Seattle, en 1962 ainsi que celle de New York en 1964 & 1965.








Voici la fiche : .pdf 5 pages











jeudi 22 novembre 2012

3e version - fiche passeport

La nouvelle version de la fiche 'Passeport' est maintenant en ligne. Plusieurs nouvelles empreintes de visa ont été rajoutées









Voici la nouvelle fiche : .pdf - 25 pages

dimanche 4 novembre 2012

Eila Hiltunen & Hommage à Sibelius

C’est en 1967, 10 ans après la disparition du musicien, qu’Eila Hiltunen compléta cette œuvre abstraite, résultat d'une compétition publique qui eut lieu en 1961-62, compétition qui fut très controversée et qui polarisa la population finlandaise en deux camps : ceux qui préféraient une représentation figurative du compositeur et ceux qui favorisaient plutôt une œuvre abstraite. Eila produisit plusieurs études avant de terminer la sculpture finale.



Deux de ces études ont été exposées au public — une se trouve dans le parc attenant au siège des Nations-Unies, à New York et la deuxième est celle qui fut exposée durant l'Expo67 (et demeura sur le site tout au long de la période de Terre des Hommes).



Voici la fiche de l'artiste : .pdf-15 pages

dimanche 21 octobre 2012

Pavillon d'Israël

La participation d’Israël à l’Expo 67 s’inscrit dans un contexte géopolitique particulier. Il s’agit de la première participation formelle du gouvernement d’Israël à une exposition universelle - le pavillon de l’Expo 64, à New York, était une participation privée.

La thématique du pavillon est surtout basée sur l’histoire du pays et son développement contemporain. Une section était réservée à la culture religieuse du pays, mais comme un autre pavillon était spécifiquement dédié au Judaïsme (pavillon privé), les concepteurs du pavillon ont surtout travaillé sur la réalité historique d’Israël.

Mais 1967 s’est avéré une année décisive pour le Moyen-Orient : le 5 juin, Israël attaque les forces égyptiennes en représailles à un blocus du détroit de Tiran - la Guerre de six jours venait de commencer. Cet évènement allait avoir toute une série de répercussions, notamment au Moyen-Orient, mais aussi à l’Expo 67...





Voici la fiche du pavillon : .pdf-11 pages

vendredi 28 septembre 2012

Pavillon de l'Exposition internationale des Beaux-arts

Dans un certain sens, tout le site de l’Expo 67 peut être perçu comme un immense musée d’art contemporain - que ce soit les œuvres d’une cinquantaine d’artistes exposées dans le jardin des sculptures, le stabile de Calder et les peintures du pavillon des États-Unis ou encore la sculpture monumentale de Moore, exposée à l’avant du pavillon de la Grande-Bretagne ainsi que l’exposition internationale de photographies ou de Design, l’Expo 67 est un lieu artistique exceptionnel. Mais ce qui représente encore plus le thème de Terre des Hommes est assurément l’Exposition internationale des Beaux-arts.



Conçu à partir de quatre thèmes : « l’homme et son image », « l’homme et son univers », « l’homme et sa création », et « l’homme et l’infini », c’est un voyage à travers 5000 ans d’histoire et de créativité humaine qui attend le visiteur - voyage qui met en parallèle les cultures orientales et occidentales, ainsi que les réalisations modernes et classiques. En tout, environ 188 œuvres provenant de 20 pays illustrant différentes cultures à travers les âges seront rassemblées. Elles seront installées dans quatre salles qui reprennent chacune un aspect du thème de l’Expo.



Voici la fiche du pavillon : .pdf-276 pages

Exposition sur Luc Durand, concepteur du Pavillon du Québec à l'Expo 67

Le Centre d’exposition de Repentigny présente Monuments 1959-2012 de Luc Durand, architecte du 30 septembre au 28 octobre 2012


Le Centre d’exposition de Repentigny présente, du 30 septembre au 28 octobre 2012, Monuments 1959-2012, de Luc Durand, architecte, et Etienne Desrosiers, commissaire. Le vernissage se déroulera en présence de Messieurs Luc Durand et Etienne Desrosiers, le mercredi, 3 octobre, à 17 h.

Le Centre d’exposition de Repentigny est heureux de présenter une anthologie des projets de l’architecte Luc Durand, père du Pavillon du Québec à l’Expo 67 et du Village olympique de Montréal aux Jeux de 1976. Mise en scène par le cinéaste Etienne Desrosiers et illustrée par de nombreux films, maquettes, mobiliers, plans, photos et dessins, cette exposition grand public raconte la surprenante aventure d’un grand bâtisseur du Québec contemporain : son séjour en Inde, sa rencontre avec Le Corbusier, le Pavillon du Québec, le Village olympique, la Place Dupuis et le recouvrement de l’autoroute Décarie sont les principaux axes de cette exposition.

Centre d’exposition de Repentigny 3, place d’Évry, Repentigny (Québec) J6A 8H7





Voici la fiche du pavillon : .pdf-32 pages

mardi 10 avril 2012

La Place d'Afrique

L’Expo 67 est la première exposition universelle sans section coloniale. Bruxelles, en 1958, avait une section centrale réservée pour ses colonies du Congo ainsi que du Ruanda-Urundi. Une exception cependant : l’île de St-Maurice, est le seul pays africain représenté à Montréal qui soit encore une colonie britannique en 1967. Il obtiendra son indépendance en mars 1968.

Cela peut sembler un fait anodin, mais lorsqu’on examine de plus près les expositions précédentes, la place des pays africains à l’Expo 67 est un changement de paradoxe majeur.



La Place d’Afrique permettait de présenter l’Afrique telle que la conçoivent et la voient les Africains. Ces pays auront, dès lors, la possibilité de choisir librement leur présentation, sans la moindre contrainte de type colonial. Si l’on regarde de près les anciennes Expositions Coloniales et la façon dont étaient traitées les nations colonisées, on saisit rapidement l’énorme pas que l’Expo 67 a permis de faire à ces pays.






Voici la fiche - elle comprend l'info sur la Place d'Afrique ainsi que sur les 15 pays participants - .pdf 42p



lundi 9 avril 2012

L'Avenir des îles Sainte-Hélène et Notre-Dame

Une première rénovation des îles de l'Expo eut lieu entre 1990 et 1992, dans le cadre des célébrations du 350e de Montréal. Une demande de financement a été effectuée dans le cadre du Programme d'intervention fédéral-municipal 1990-92. Plusieurs documents ont été préparés par la Ville de Montréal afin de soutenir cette demande.

Une consultation a eu lieu à la même période, consultation qui a permis de préparer un Plan directeur d'aménagement pour les îles Sainte-Hélène et Notre-Dame (ce plan directeur a été mis en ligne sur ce site il y a quelques mois).

Voici quatre des documents qui ont été préparés pour le Programme d'intervention fédéral-municipal. On y trouve, entre autres, un Plan préliminaire d'aménagement de la partie ouest de l'île Sainte-Hélène — plan qui a été préparé avec la collaboration de Peter Jacobs, professeur en emménagement de l'Université de Montréal.

Ce Plan est très intéressant, car il s'agit d'une vision assez complète de l'aménagement de l'ancien site de l'Expo 67. Notamment, on y trouve une proposition très intéressante pour la réhabilitation du site de la Place des Nations - en voici un extrait :

Place des Nations

Problèmes: Même si cette structure (construite des fins temporaires) a bien rempli le rôle pour lequel elle a été conçue, elle pose des problèmes en fonction des besoins actuels et de l'orientation visée pour les Îles.

La structure remplissait sa fonction d'origine, un lieu pour la tenue d'événements symboliques; elle n'était pas adéquate comme; alors une restauration en vue de sa vocation d'origine n'est pas justifiée.

La structure est endommagée et les coûts de restauration seront élevés.

Avantages: Par contre, la place des Nations en offre certains:

La structure a une valeur patrimoniale. C'est ici qu'ont eu lieu les cérémonies d'ouverture et de clôture de l'exposition universelle ainsi que les journées nationales. C'est ici également que se sont réunis le plus grand nombre de chefs d'état de l'histoire du pays.

La conservation de la place des Nations permettra de créer un point de destination qui incitera les gens à se rendre au bout de l'île. Les espaces de la place et le jeu des niveaux des pyramides el des ponts de bois peuvent servir comme attraction en soi et les espaces intérieurs en-dessous des pyramides peuvent être utilisés pour abriter diverses activités d'intérêt public.

La formalité de l'espace ainsi que soit sens d'enclos spatial et de refuge pourront être vus comme un contrepoint positif mettant en valeur les espaces naturels et plus ouverts du bout de Ille. Les pyramides et les ponts de bois peuvent servir comme points d'observation sur le fleuve


Approche visée: Nous ne visons, ni une démolition totale, ni une restauration intégrale de la place des Nations, mais plutôt la conservation de l'organisation spatiale de la place et sa transformation en environnement surtout végétal afin de créer un centre commémoratif d'Expo 67. La forme demeurera, mais son caractère sera radicalement différent.

C'est ici que l'image de "L'Expo envahie par la nature" a une pertinence particulière. La nouvelle vocation d'espace vert se calquera sur le patron du passé et sur le souvenir des événements importants qui y ont eu lieu.

Nous proposons de conserver au moins la pyramide ouest (comprenant la flambeau d'Expo 67), la plaque avec le symbole d'Expo 67, la forme des trois autres pyramides qui définissent l'espace ainsi que quelques poteaux de drapeaux et quelques poutres de bois. Ces dernières serviront de passerelles et de postes d'observation, en offrant la vue sur le fleuve et la ville à partir d'un niveau plus élevé. Nous proposons d'enlever des ajouts acquis depuis l'Expo: la scène et les clôtures au-dessous des poutres de bois, et possiblement les deux gradins de béton. Quant au reste, nous proposons de transfomer soigneusement les autres éléments, afin de rejoindre simultanément les objectifs de la préservation de l'œuvre architecturale, du sens d'enclos spatial, de la naturalisation du site et de son ouverture sur le fleuve.

La partie centrale de l'espace deviendra un plan d'eau incorporant une fontaine illuminée; la végétation envahira les bords de l'espace.

Le centre commémoratif d'Expo, 67 comprendra un jardin de sculptures regroupant les œuvres d'art héritées de l'Exposition universelle entreposées jusqu'ici par la Ville de Montréal. Un centre d'interprétation dans les espaces sous les pyramides pourrait comprendre, entre autres, des éléments visuels (photos, films, vidéos), des objets de l'époque et une maquette d'Expo 67. Le centre commémoratif pourrait mettre l'accent sur les aspects d'Expo 67 qui étaient les plus marquants pour Montréal ou les plus significatifs dans l'évolution des expositions universelles dont, entre autres :

• l'exploit exceptionnel d'avoir créé et bâti le site de l'exposition dans un délai aussi court;
• la qualité d'aménagement du site qui a mis un accent sur les moyens de déplacement et sur la qualité des espaces,
• les œuvres architecturales telles que la Biosphère, Habitat 67 et le pavillon d'Allemagne;
• les communications et les innovations cinématographiques,
• la visite de personnages de réputation internationale tels que les chefs d'état et les grandes vedettes,
• l'esprit de collaboration et de participation qu'Expo a engendré dans la population;
• la reconnaissance au plan international de Montréal et du Canada découlant de la tenue de l'exposition.

Il serait intéressant que la conception du centre commémoratif traduise l'esprit qui a animé l'Expo (ex.: utilisation d'innovations cinématographiques de l'époque). On pourra faire appel aux concepteurs d'Expo 67 pour participer au design du centre commémoratif. On pourra aussi inviter la population à offrir ou prêter des souvenirs?


Voici les quatre documents :




Plan préliminaire d'aménagement : .pdf 53p






Orientations générales préliminaires : .pdf 31p






Impacts économiques du programme d'intervention : .pdf 21p






Échéancier des travaux et des décaissements : .pdf 14p

samedi 10 mars 2012

Le Labyrinthe

C’est au début de 1965 que l’ONF reçoit la commande pour un pavillon pour l’Expo 67. On y présentera "Dans le labyrinthe", un film multiécran réalisé par Roman Kroitor, Colin Low et Hugh O’Connor, qui attire plus de 1,3 million de visiteurs. Le film est considéré alors comme le projet cinématographique le plus ambitieux jamais réalisé et le Labyrinthe fut l’un des pavillons les plus appréciés de l’Expo 67, surtout si l’on considère que le nombre de visiteurs aurait été beaucoup plus grand si ce n’était des interminables files d’attente. Il s’agit d’un des films clefs dans la création d’IMAX.


On a recréé symboliquement la légende du Minotaure, ce monstre tué par Thésée dans le Labyrinthe qu’avait construit Dédale. Cette légende a une signification précise : c’est l’humain qui s’efforce de se comprendre lui-même, de bien maîtriser le monde qu’il habite et de surmonter ses peurs et ses angoisses. Il n’était pas question d’illustrer cette légende, mais plutôt de s’en servir comme concept intégrateur entre les différentes chambres.









Voici la fiche du pavillon : .pdf - 45 pages




La trame sonore des films a été composé par Eldon Rathburn. En plus de ses nombreuses œuvres pour concert, il a à son actif 185 partitions de films - surtout des courts métrages pour l’ONF dont Dans le labyrinthe (1967, fantaisie pour multiécran) et Momentum (1992) pour l’Expo 92 à Séville, en Espagne.





La musique de "Dans le labyrinthe" a été endisqué par l'ONF en 1967. Il s'agit d'un long jeu introuvable aujourd’hui. Le voici, en format MP3. Il faut prendre en compte qu'il s'agit d'une production analogue, enregistré sur support vinyle - la qualité est variable, selon les pièces.







01 - Birth (3:10)



02 - City faces (2:05)




03 - Tranquility (1:45)




04 - The Minotaur (2:55)



05 - The wind in my hand (3:10)



06 - Confident youth (2:05)



07 - Into the Labyrinthe (2:55)



08 - Out of the Labyrinthe (5:50)




09 - The Universe spins on the point of my Head (2:30)



10 - Farewell to a hero (3:20)



11 - Celebration (2:35)



12 - Thresherman’s reunion (2:20)

vendredi 2 mars 2012

Le pavillon du Québec

« La province de Québec a l’honneur de devenir l’hôte de cette exposition, et pour ma part j’y vois, tout petits que nous sommes, que nous du Québec voulons cesser d’être lilliputiens. Nous arrivons à la taille des hommes, et nous jouerons un grand rôle au cours de cette exposition, en faisant connaître un Québec jeune, fier de son passé, convaincu de son avenir, assuré de lui-même. Le Québec a cessé de se replier sur lui-même, il aborde avec confiance le chemin de l’avenir.» Jean Lesage - 1965

Il va sans dire que le Pavillon du Québec allait avoir une place plus importante que prévu au sein de l’exposition, car malgré que ce fut le Canada qui en était l’hôte, c’est au Québec que la réception a lieu et surtout à Montréal, capitale francophone de l’Amérique du Nord et surtout Métropole du Canada (elle perdra son titre au profit de Toronto quelques années plus tard). Le tout, en soulignant justement le centenaire de cette confédération canadienne.


Le pavillon a effectivement eu beaucoup de succès, en 1967. Il avait aussi été conçu pour être permanent et il le fut... mais les restaurations de Loto-Québec l'ont dénaturé pour en faire un vulgaire cube de verre de couleur or d'un style totalement kitsch!




Voici la fiche du pavillon : .pdf-32 pages

dimanche 19 février 2012

Nouvelle fiche sur Louis Archambault

La nouvelle version de la fiche sur Louis Archambault est maintenant en ligne. Une section a été rajoutée pour faire état de la participation de l'œuvre d'Archambault à l'exposition Hemisfair'68, à San Antonio (Texas).




Voici la nouvelle fiche : .pdf - 13 pages

mardi 14 février 2012

Les affiches et les cartes postales

Les cartes postales sont étroitement associées aux expositions internationales, et ce, depuis les expositions françaises du XIXe siècle. Objet de publicité au début, les cartes sont rapidement devenues un moyen de communication populaire.

Bien qu’un nombre important (plusieurs centaines) de cartes postales furent émises pour les expositions de 1878 et 1889, à Paris, ce fut surtout l’exposition Colombienne de Chicago, en 1893, qui popularisa ce mode de communication.

Pour l’Expo 67, les organisateurs ont fait appel à la firme Messagerie de Presse Benjamin pour produire une série de cartes postales officielles, un document souvenir ainsi qu’un ensemble de souvenirs officiels, tels que des plats, des cendriers, etc. Benjamin avait l’exclusivité pour ces produits, incluant l’utilisation du logo de l’Expo.

Plusieurs centaines de cartes postales ont été créées pour l'Expo 67 et Terre des Hommes. Un répertoire de ces cartes a été publié par Michel Bazinet il y a une dizaine d'années. Cependant, ce guide est introuvable (il a été publié en très petite quantité).



La fiche suivante couvre la production des cartes pour l'Expo 67 et Terre des Hommes, en plus de répertorier les principales affiches : .pdf 78p






La Compagnie Benjamin a produit un guide souvenir officiel, dans lequel nous retrouvons essentiellement les mêmes photos que celles utilisées pour les cartes postales. Le document de 36 pages donne peu d’information sur les pavillons, mais demeure une publication intéressante au niveau de l’iconographie.




Voici l'Album Souvenir officiel : .pdf 36p

Nouvelle version - Fiche "Passeport"

La 2e version de la fiche "Passeport" est maintenant en ligne. Elle contient plusieurs nouveaux visas en plus d'améliorations importantes à la qualité de l'image de plusieurs des autres visas.



Voici la nouvelle version de la fiche : .pdf 15p

samedi 7 janvier 2012

Niki de Saint-Phalle et Jean Tinguely au Pavillon de la France

En 1966, Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely réalisent Le Paradis Fantastique, une commande du gouvernement pour le pavillon français de l'Expo' 67. L'œuvre achevée se compose de neuf sculptures peintes, réalisées par Niki, et de six machines cinétiques noires construites par Jean Tinguely. Elles seront exposées sur le toit du pavillon, autour d'une terrasse et d'un bar.



En 1968, Le Paradis Fantastique est présenté à la Albright-Knox Art Gallery de Buffalo, puis dans Central Park, dans la ville de New York durant un an. Aujourd'hui, l'ensemble se trouve à Stockholm, au Moderna Museet.







Voici la fiche des artistes : .pdf 20 pages

jeudi 5 janvier 2012

Modification à la liste des expositions

J'ai modifié le document sur les anciennes expositions - j'y ai ajouté le nom officiel, les dates de l'expo (et l'info lorsque l'expo a été annullée) ainsi que le nombre de visiteurs, du moins pour celles dont j'ai l'info


Voici la fiche corrigée : .pdf 68 pages

mercredi 4 janvier 2012

Louis Archambault - Sculpteur

Louis Archambault est né à Montréal en 1915. Son apport au renouveau de la sculpture au Canada, particulièrement dans les années 1960 et 1970, fait de lui un des plus grands sculpteurs canadiens de sa génération. Il est considéré comme le pionnier de la sculpture contemporaine au Canada. Trois de ses œuvres seront présenté à l'Expo 67, dont deux de celles-ci sont des commandes pour le pavillon du Canada et pour la Cité du Havre.


Son œuvre principale 'Personnages' est composée de onze sculptures portant chacune un nom différent comme Famille, Mère, Père, Enfant, Angèle, etc. Elle se retrouvait sur l'esplanade du pavillon du Canada. Aujourd'hui, 'Personnages' est mise en valeur par sa nouvelle localisation au Musée de la Civilisation (Gatineau) face aux immeubles du parlement et la rivière des Outaouais.






Voici la fiche du sculpteur : .pdf - 15 pages