lundi 28 novembre 2011

Pavillon de la Jamaïque

Malgré sa structure en bois qui devait être temporaire, comme pour la majorité des pavillons d'ailleurs, celui de la Jamaïque a su résister à la démolition envers et contre tous. On vient tout juste de le rénover de fond en comble — heureuse rénovation qui a su respecter la forme originale du pavillon.



Le pavillon a été construit selon les plans d’un architecte canadien installé à Montréal, George F. Eber (1933-1995). Eber fut l’architecte le plus prolifique de l’Expo 67.




Voici la fiche du pavillon : .pdf (6 pages)

dimanche 13 novembre 2011

Pavillon de l'humour 1968/1981

Il est toujours étonnant de voir combien d’auteurs et de chercheurs sont certain qu’il y avait un pavillon de l’humour à l’Expo 67. Mais, en réalité, c’est pour la première année de Terre des Hommes (1968) que la pavillon fut créé, par Robert La Palme. Ce pavillon sera le plus populaire de Terre des Hommes et ce, jusqu’à la fermeture du site, en 1981. Il sera par la suite transféré pour quelques années dans l’ancien pavillon de la France, sur l’Île Notre-Dame.




La confusion vient du fait que le 4e salon international de caricatures a été intégré aux événements liés à l’Expo 67 et le pavillon de l’humour a été construit autour de ces salons, qui en était l’élément central.




Voici la fiche du pavillon : .pdf 145p

samedi 12 novembre 2011

Design Canada

Le design canadien à l'Expo 67

La construction de l'Expo 67 a donné un élan international aux designers canadiens et surtout québécois. Que ce soit pour l'élaboration du mobilier urbain (pratiquement tout a disparu depuis!) ou de l'ameublement de certains pavillons et d'Habitat 67, le génie créateur des Canadiens était au rendez-vous.




En 1968, Design Canada (Gouvernement du Canada) publiait une rétrospective visant à promouvoir nos firmes de design à l'étranger. Très peu de texte par contre mais le visuel est intéressant...




Voici le document : .pdf 64 pages

Courrier de l'Unesco 1967

Voici l'édition sur l'Expo 67 du Courrier de l'Unesco. Contient, entre autres, une decription intéressante du Montréal des années 1960.




Pour obtenir une copie: Courrier.pdf

samedi 5 novembre 2011

La Tour Paris-Montréal

Les expositions internationales sont, de par leur nature, éphémères. C’est pour cela que chacune des villes-hôtes espère avoir un bâtiment ou un monument qui, non seulement demeure après la tenue de l’exposition, mais en devient son symbole permanent. Londres a eu son Palais de cristal (1851), New York a construit le Trylon et le Péristyle (1939), Bruxelles a son Atomium et l’on retrouve encore aujourd’hui, au centre de Seattle, le “Space Needle”, la tour qui a été construite pour l’exposition de 1962.

Mais c’est à Paris que l’on retrouve le symbole le plus connu internationalement : la Tour Eiffel, construite pour l’exposition de 1889 et qui devait être démonté quatre ans plus tard. Symbole omniprésent de la ville de Paris, la « Tour de 300 mètres », telle qu’elle avait été nommée au début, est le bâtiment le plus connu de la planète. Jean Drapeau en voulait plus....


La suite de l'histoire : (Fiche .pdf 6 pages)

Pavillon Polymer

Dans ce pavillon d’une extrême délicatesse, la Société Polymer Limitée, fabricant de caoutchoucs synthétiques et de plastiques, explore la philosophie voulant que la curiosité soit une façon de voir et la clef du progrès de l’humanité. Il entendait rendre compte des progrès et des acquis pour l’homme dans le monde des plastiques et des composés de synthèse.




Construit sur une structure d’acier, le pavillon Polymer démontre très bien la plasticité du béton. Celui-ci, projeté sur la structure de métal est terminé par une couche de finition au silicone. Le pavillon était le seul à ciel ouvert.

C’est aussi le plus petit pavillon de l’Expo 67 mais sa structure, en forme d’une roue à moyeu et coiffée d’un mobile de 18 pieds de haut ne passait pas inaperçue! Ce mobile, constitué de disques métalliques, et surnommé « La curiosité » représente une molécule de polymère.

Voici la fiche du pavillon : (.pdf 6 pages)